Qui connaît le Grolektif ? Son histoire, ses membres, ses disques, son parcours, ses ambitions ? Bref, pour ne pas risquer le zéro pointé, la session de rattrapage est prévue à Lyon cette semaine. Du 8 au 11 avril.
Au Périscope, au Hot-Club et dans quelques autres lieux. Au programme, précisément, l’importance de ce collectif de musiciens qui a Lyon pour base et, dans la foulée, le rôle que jouent aujourd’hui dans la musique contemporaine, ces collectifs.
La même initiative a d’ailleurs lieu dans différentes villes de France à l’initiative d’autres collectifs (Rouen, Tours, Nantes, Paris).
A Lyon, tout démarrera mercredi : le Hot Club accueille ce soir-là Anne Quillier en solo et In a suggestive way. Le lendemain, arrivent au Périscope SO-LO-LO, Le Migou et Alice Miller (Christophe Imbs et David Florsch) qui invite le batteur Manu Scarpa.
La journée de vendredi sera à marquer d’une pierre blanche. Du matin jusqu’au soir, se succéderont aux Archives municipales et au Périscope, une journée de débats, de concerts et d’autres ripailles à ne pas manquer.
Rappelons tout de même que le Groslektif est né en 2004 de la volonté d’une quinzaine de jeunes musiciens qui voulaient promouvoir leurs créations et trouver les moyens de les diffuser. Aujourd’hui, ce collectif compte plus d’une trentaine de membres et fait régulièrement parler de lui dans divers évènements et performances. C’est d’ailleurs lui qui a décidé de créer le Périscope, trois ans après…